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RESSOURCES/Paul Sanda. Sur l Paul Sanda. Sur l'eau, une nouvelle inédite.


Lien vers la vidéo du texte de Paul Sanda lu par Serge Cazenave

Merci Paul Sanda pour cette très belle contribution à "Décents chapitres", bio de l'auteur en fin de chapitre.

Vivre sur l’eau, par volonté, par un désir construit aussi bien que par inclination naturelle, sur cette eau que je ne pense pas avoir jamais aimée dans l’enfance, me renvoyait toujours à une sorte de monstrueux courant dévorateur abstrait, capable d’envahir le domaine des véritables vivants, quels qu’étaient ceux-ci.
J’ajoute qu’il me semblait assez ignoble de chercher à maîtriser ce flux incessant et inaccessible, et que tout acte sensuel de connivence ou de complicité avec lui me paraissait être un gouffre trop profond pour que l’on ne soit pas justement porté à sous-estimer la limite invisible au-delà de laquelle toute élévation aérienne est impossible. Pareil constat de sous-estimation conduisait invariablement à donner à ce fluide aspiré, à ce liquide transparent et massif, une toute puissance, une force dévoratrice, et à le faire cataracter sur la scène d’un monde imaginaire, dont le vertige était sans aucun doute de bouleverser la solidité, ou tout au moins de provoquer une prompte accélération de la mouvance en mon univers enfantin.

Vivre sur le courant même de l’eau.
.. ; que je sois ainsi amené, souvent, à mêler l’effet de déchaînement aux flots, sous la furieuse vindicte d’une pluie absolument inquiétante, et je me terrais sous la terre, dans les rocs, dans les buissons et jusqu’au creuset des arbres millénaires... Hors cet emportement aqueux, seul l’utopique était recommandé à mes yeux, forçant la volonté et la surveillance, puisant alors toute une intensité dans la fuite, dans la nécessité incontournable de disparaître. J’avais souvent expérimenté que les eaux de vaisselle, l’eau des fontaines, des ruisseaux, et l’eau du lavoir immémorial, ouvraient chez moi tout à fait impulsivement, la porte d’un onirisme brutal, fait d’atroces cauchemars et d’infinies béances, de tumultes autant troublants qu’ils ne se lassaient jamais d’être plus terriblement angoissants encore que la cascade même. Ainsi pris-je la curieuse habitude de ne plus jamais approcher l’eau, ni sous la forme de boisson, ni sous la forme d’arrosoir et de tuyau, ni sous la forme de bains, ni de sources, encore moins de mares, de rivières, de torrents ou de lacs.

Vivre sur l’eau, durant l’épisode interminable de l’enfance, ce fut l’horrible cours d’un long traitement médical, que je devais suivre hors du champ scolaire, et dont le centre destructeur était une fièvre aiguë qui provoquait des ruissellements permanents et des poussées grandissantes de sueur, avec l’obligation de gagner le repos loin de la maison familiale : dans un sanatorium sis en bord de mer.
.. Ainsi chaque fois que ma température corporelle dépassait le degré redouté, je recevais dans ma chambre la visite fantasmatique de l’envahissement d’eau, de cette mer si proche qui me bouleversait tant. C’était alors une vague gigantesque, que je savais pourtant ne pas exister dans la réalité, mais qui s’affirmait comme un vrai courant destructeur, une scélérate de celles que l’on a nommées tsunamis dans le pacifique et qui excédait toutes mes appréhensions en termes d’horreur et d’atrocité... C’était une forme lourdement élaborée (comme une énorme masse de marbre gris chutant sur l’émail fragile de mon lit), elle m’apparaissait nue, vitreuse, et pleine d’os de bêtes attachées par les pattes, équarries, pleine de chenilles tentaculaires et de chevelures rouges de démons (c’était comme si les chevaux des cavaliers de l’Apocalypse s’étaient libérés dans ma direction, chargeant d’un seul bloc pour me disloquer) ...

Vivre dans le courant d’eau, en adulte.
.. Car rien ne semblait pouvoir jamais s’apaiser au fond de moi. Ainsi aux îles Marquises, bien plus tard, chaque aventure se passait comme si j’étais lié ad vitam aux vertiges imposés par ce monstre admiré, des uns et des autres, et qui évoluait sans vergogne dans l’intangible, l’insondable, et dans l’infiniment inexorable pour moi seul. Sur un bateau en limite de flottaison j’ai embarqué... Sur le tapis qui dansait devant moi, j’avais cette impression oppressante que Pluton lui-même prenait la pose, se couchait, se relevait, tournait et se retournait, sans me présenter jamais que fourche, doigts crochus, cuirasse et coups de genou. Un Chronos terrible, ou un Janus, dur et visqueux, brillant, doublement sombre, multiple en somme, portant le danger et l’appel du courant aussi bien en haut qu’en dessous, ne laissant apparaître que le reflet doré capable de masquer le mangeur d’homme relégué jusqu’à l’intérieur le plus enfoui. En y réfléchissant, dans la lumière étrange, je trouvais répétitivement à cette lourdeur monumentale un caractère forcené qui ne me déplaisait pas, mais qui me broyait littéralement jusqu’au plus profond du sens.

Vivre sur l’eau, jamais, ô grand jamais… Et pourtant j’y suis venu enfin, par un jour inattendu, à ce retournement formidable.
.. Et c’est dans le creux d’une vague de cinq mètres, sous la furie, au cœur des aléas du Fromveur – ce fameux courant mortel d’avant l’île d’Ouessant – quand tout à coup le grand voile maudit se déchira... Sous un tonnerre assourdissant, sous un ciel noir de terreur éclatante, la mer m’apparut alors toute à l’opposé de ce que j’avais toujours cru d’elle : personnage central du Radeau de La Méduse, cette huile sur toile si bien harmonisée par le soi-disant romantique Théodore Géricault, qu’elle me rendait fou de peur dans l’illustration malencontreuse d’une page d’histoire, ou d’un passage de littérature... Et vous dire même que je la croyais jusqu’alors peinte pour raconter ma seule vie, comme en une prémonition extraordinaire. Car quoi de plus exact, pour mettre en scène le visage de l’angoisse, que la toile d’un maître français du XIXe siècle ? La tempête, le vent déchaîné à deux cent kilomètres par heure bientôt, le capitaine Achab et la baleine blanche, le gouvernail tourbillonnant dans l’écume du Hollandais Volant, ou bien la pointe drossée sur le berg de glace du Titanic ; le vertige de Robinson Crusoé, et les hommes horribles qui dépouillèrent le pauvre Gulliver pour l’abandonner sur un rivage inconnu et inhospitalier… Croyant réellement mourir au passage de cette gigantesque vague assassine, je me souvins alors de cette phrase subtile de James Joyce, si fastueusement intime dans la circonstance, qui me retourna définitivement contre ma phobie : « Sous l’influence du flux il voyait les algues convulsées s’élever avec langueur, balancer des bras qui éludent quand leurs cotillons elles troussent, balancer dans l’eau chuchotante, et lever de timides frondes d’argent. Jour après jour, nuit après nuit : soulevées, inondées, laissées à plat. Seigneur, elles sont lasses, et au chuchotement de l’eau elles soupirent. Saint Ambroise l’entendit, le soupir des feuillages et des vagues, en attente, dans l’attente depuis toujours de la plénitude de leurs temps, diebus ac noctibus iniurias patiens ingemiscit. Pour nulle fin rassemblées, puis en vain relâchées, s’avançant avec le flot, avec lui revenant en arrière : écheveaux du métier de la lune. Elle aussi, lasse aux yeux des amants, des hommes lascifs, une reine nue rayonnante en son royaume, elle tire à elle le réseau des eaux ». Dans les années qui suivirent, toujours je pus revivre cet instant sacré, comme un baptême, mais au plus flou à mesure que le temps passait, comme sur une photographie vieillie... Ce qui rendait la mer dangereuse pour moi auparavant n’était plus vivant, pourtant je ne sais évoquer ces souvenirs de peur réelle aujourd’hui sans une certaine nostalgie... Et c’est ainsi que je parvins jusqu’aux îles Fortunées, décidé pour toujours à vivre dans le courant de l’eau...

© Paul Sanda 2022

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Paul Sanda est un éditeur, poète et écrivain, mais également vociférateur et improvisateur ou performeur.
Il dirige les Éditions Rafael de Surtis installées à Cordes-sur-Ciel dans le Tarn ainsi que sa Médiathèque. Il travaille avec la Maison des Surréalistes pour l'organisation d'événements créatifs et culturels.
Il développe actuellement ses collections touchant plus particulièrement à la spiritualité orthodoxe, gnostique, hermétique, et poursuit un travail de longue durée en poésie française et étrangère.


Pour ses actualités, le lien vers le site internet sécurisé de sa maison d'édition est : https://www.
rafaeldesurtis.fr.
En préparation : un livre documentaire sur les écrivains qui ont parcouru la cité médiévale de Cordes sur Ciel pour ses 800 ans qui se fêteront en 2022.


Il est également Président de la Maison de la Poésie du Pays de Quimperlé – Finistère.
Il a écrit plusieurs ouvrages avec Bruno Geneste, son directeur artistique, dont plusieurs passionnants sur la Bretagne.

Quelques-uns de leurs titres, dans l'ordre alphabétique :
Auberge de la Tête Noire, de Paul Sanda,
CELEBRATION DES NUEES, anthologie poétique de son oeuvre, de Paul Sanda,
CORDES-SUR-CIEL CITE MYSTERIEUSE, de Paul Sanda,
DIX-SEPT PSAUMES DE PROUE DE JOUES ET DE BEAUTE, de Paul Sanda,
GIACOMO CASANOVA OU L'EPUISEMENT DU MAL, de Paul Sanda,
Haute Magie Des Pentacles De L'abbé Julio, de Paul Sanda,
L'ALCHIMIE SECRETE EN LA VOIE SACERDOTALE, de Paul Sanda,
La petite épée de Tolède, Martine Saurel, Bruno Geneste et Paul Sanda,
La Voie Gnostique dans l'orthodoxie occidentale, de Paul Sanda,
Le Canon Sanda, d'Odile Cohen-Abbas,
Le Labyrinthe hermétique, par Mgr Paul Sanda,
LE SANCTUAIRE DE LA PEUR, de Paul Sanda,
Les Constellations de Charles-Albert Cingria, par Paul Sanda,
Les Îles du Silence, de Bruno Geneste et Paul Sanda,
Les pensée bleues d'André Suarès, par Bruno Geneste et Paul Sanda,
Les Surrealistes Et La Bretagne, de Paul Sanda et Bruno Geneste,
LETTRE DE SINTRA, de Paul Sanda,
Révélations Sur La Magie Et La Sagesse Des Druides, de Paul Sanda et Bruno Geneste,
OUESSANT, L'(H)ERMITAGE DES GRANDS VENTS, de Bruno Geneste ; Paul Sanda,
OUESSANT, PHARES ; BALISES, de Paul Sanda,
Rituels de Guérison par les Archanges, de Paul Sanda,
SAINT-POL-ROUX, de Bruno Geneste et Paul Sanda,
SEPT FRAGMENTS IMMANENTS POUR UNE ALCHIMIE POETIQUE, de Paul Sanda,
Sept Irruptions, de Paul Sanda,
SEPT RITUELS SEXUELS SACRES DE L'ESOTERISME OCCIDENTAL, de Paul Sanda,
Un siècle d'écrivains à Pont-Aven, de Bruno Geneste et Paul Sanda.




bibliographie,
principaux recueils poétiques
La Petite Épée de Tolède, avec Bruno Geneste, et Martine Saurel, Rafael de Surtis, 2021.

Les îles du Silence, avec Bruno Geneste, Rafael de Surtis, 2020.

Dialogue dans l'esprit d'Artaud, Rafael de Surtis, 2019.

Auberge de la Tête Noire, Rafael de Surtis, 2019.

Les Travaux de la Nuit, Alcyone, 2018.
Bilingue Franco-Espagnol. Traduction Miguel Angel Real.
Le Zodiaque de Mohamed Ali, avec Bruno Geneste, MaelstrÖm reEvolution, 2018.
Collection Bookleg n° 146.
Le Sanctuaire de la Peur, Rafael de Surtis, 2017.
Dix tableaux de Françoise Segonds.
Rituel du Roi Lézard, avec Bruno Geneste, Édition bilingue : français, italien, Rafael de Surtis, 2017.
Illustrations Monique Marta.
Le vent, je suis Léo Ferré.
Rafael de Surtis, 2017.
Célébration des Nuées.
Anthologie Poétique de l’Œuvre de Paul Sanda (1990-2015), contenant Le Tombeau de Joyce Mansour, recueil inédit, 2016. Préface de Marc Petit. Postface de Jehan Van Langhenhoven ; études de Serge Torri et Pierre Grouix ; de Christophe Dauphin. Nombreuses illustrations, lettres à Paul Sanda de Fernando Arrabal, Alain Jouffroy, Gisèle Prassinos... et un cahier photographique de 48 pages, avec des photos de Chloe des Lysses, Nina Jolivet, Najah Kadi-Iskander, André Jolivet (peintre), Rafael de Surtis, etc. Rafael de Surtis / Editinter, 2016.
Ouessant, Phares & Balises, Édition bilingue : français, breton.
Rafael de Surtis / D'Autres Univers, 2016. Illustrations Klervi Bourseul.
Lettre de Sintra, Rafael de Surtis, 2014.
Envoi de Rémi Boyer. Ouvrage bilingue Franco-Portugais. Traduction de Jean-Louis Susano.
Dix-sept Psaumes de Proue de Joue & de Beauté, Rafael de Surtis, 2014.
Édition trilingue : français, russe, anglais. Trad. Nariné Karslyan et Claire Le Chevalier. Avec Irène Le Goaster, sculptrice : photos Laure Carion.
Heureuse la nuit, Voltije, 2013.
Livre d'artiste, avec des photos plastiquement travaillées d'André Jolivet.
Casanova ou l'épuisement du Mal, Rafael de Surtis, 2013.
Prose poétique, pour un projet de scénario de Jean-Pierre Mocky.
Les Messagères Coperniciennes, Rafael de Surtis, 2009.
Préface de Michel Cazenave. Collages de Christian Martinache.
Toute la vérité sur le cadavre, Rafael de Surtis, 2009.
Préface de Jehan Van Langhenhoven. Interventions plastiques d’Olivier de Sagazan. Postface de Pierre Barthélémy.
Slumming on Park Avenue, Rafael de Surtis, 2009.
Dessins de Alain Marcadon.
Racines Profondes, Arma Artis, 2008.
Préface de Michel Cazenave. Sept dessins de Didier Serplet.
Tribute to Patricia Barber, Le Trident Neuf, 2007.
Illustration de Claude Bellegarde. Postface de Marc Petit. Ouvrage bilingue franco-américain. Traduction Eve Taylor.
Song for Silja, Rafael de Surtis, 2005 ; version en finnois de la première partie de la Corde Fantasophique ; traduction de Karolina Blåberg.
Envoi de Frédérick Tristan.
La Corde Fantasophique, Editinter, 2003.
Envoi de Frédérick Tristan. Tableau de Marc Janson. Postface de Pierre Grouix.
Elle saigne à la lanterne, éditions Syllepse, 2002.
Préface de Marc Petit. Tableau et encres de Claude Bellegarde.
Entre chair et loup, Editinter, 2001.
Gravure de Florent Chopin. Treize postfaces.
Pour la chair de l’île, Océanes, 1999, réédition 2004, avec une gravure de Jean-Gérard Gwezenneg et une préface de Jacques Abeille.

Une femme sans bassin serrée comme un craquement, Rafael de Surtis, 1997 ; gravure d’Annick Bongrand.

Ludi Funebres, St Germain-des-Prés, 1990 ; réédition Rafael de Surtis, 1999.
Une Œuvre composée et interprétée par Paco das Mortes, Productions Requiem, 1996. Postface de Jacques Kober dans la réédition. essais
Le Labyrinthe hermétique, les Douze Portes de l'Alchimie initiatique, la rumeur libre, 2021.

Révélations sur la Magie et la Sagesse des Druides, avec Bruno Geneste, éditions Trajectoire, 2021.

Un siècle d'écrivains à Pont-Aven et ses environs, avec Bruno Geneste.
Préface d'Hervé Jaouen, éditions des Montagnes Noires, 2020.
Sept Irruptions créatives et nostalgiques, Rafael de Surtis, 2020.

La Suette, Rafael de Surtis, 2020.

Les pensées bleues d'André Suarès, avec Bruno Geneste.
Sémaphore, collection Champs Magnétiques, 2019.
Fantômes, Spectres et Revenants ; réflexions sur les orbes et l'au-delà de l'âme, éditions Trajectoire, 2019.

Les Constellations de Charles-Albert Cingria, Sémaphore, collection Champs Magnétiques, 2018.

Saint-Pol-Roux ; le Cosmographe des Confins, avec Bruno Geneste, Rafael de Surtis / Editinter 2018.

L'Alchimie secrète en la Voie Sacerdotale, Rafael de Surtis / Editinter, 2018.

Bréviaire secret des Templiers, éditions Trajectoire, 2018.

La Voie Gnostique dans l'Orthodoxie occidentale, Rafael de Surtis, 2017.

La voie ésotérique du chevalier chrétien, éditions Trajectoire, 2017.

Cordes-sur-Ciel, Cité Mystérieuse, Templiers, initiés & Moines Rouges, Rafael de Surtis / Editinter, 2016.
Conseiller historique Pascal Cazottes.
7 Rituels sexuels sacrés de l'ésotérisme occidental, Rafael de Surtis / Editinter, 2015.
Préface de Christopher Blake, envoi de Michel Cazenave.
Les Surréalistes et la Bretagne ; le domaine des Enchanteurs, avec Bruno Geneste, Editinter 2015.
Bourse d'avant-garde Sarane Alexandrian 2014 de la SGDL. préface de Marc Petit, postface Jehan Van Langhenhoven.
Prières secrètes de Guérison par l’invocation des Saints, Trajectoire, 2013.
Postface de Rémi Boyer.
Ouessant, l'(H)ermitage des Grands Vents, avec Bruno Geneste.
Rafael de Surtis / Les Chemins Bleus, 2013. Illustrations Klervi Bourseul et Fredofthewood.
Rituels de Guérison par les Archanges, Grand Grimoire des Archevêques, Trajectoire, 2012, préface de Pierre A.
Riffard ; réédition Rafael de Surtis, 2020.
Sept Fragments immanents pour une Alchimie poétique, Rafael de Surtis, 2012.

Haute Magie des Pentacles de l’Abbé Julio, éditions Trajectoire, 2009.
Préface Frédérick Tristan. Postface Hervé Rougier. Reproduction des 44 pentacles originaux en couleur.
Le Pacte Bicéphale, avec Rémi Boyer.
Rafael de Surtis, 2010. Illustrations photographiques Aimaproject.
Petit Grimoire du Sens, Arma Artis, 2007.
Illustration de Didier Serplet, et une photographie de Michel Gaudrion. Postface de Rémi Boyer.
Reflets tremblants des Arts déçus, avec Daniel Roth.
Rafael de Surtis, 2007. Illustration de Daniel Roth. Préface de Gilbert Sinoué.

( Le 07/01/2022 )











Merci pour les avis que vous avez saisis au bas de chaque page regroupés ci-dessous :

Pseudo : Sophie - Avis de la page Chaude République Dominicaine : Joli site bien documenté


Pseudo : Paul Sanda - Avis de la page Nos ancêtres les gaulois étaient celtes : Très belle critique. Merci Elea Coblan, auteur subtil...


Pseudo : Elea Coblan - Avis de la page Nos ancêtres les gaulois étaient celtes : Merci Paul Sanda et Bruno Geneste de nous offrir ces beaux moments de lecture.


Pseudo : Guépard - Avis de la page Fénelon : A noter : "Les aventures de Télémaque" est aussi un pastiche dadaïste écrit par Aragon de l'ouvrage du même nom de Fénelon.


Pseudo : Paul Sanda - Avis de la page Eugène Delacroix : Merci pour ce très beau Delacroix...


Pseudo : CB - Avis de la page Mission Mars. : Sur le sujet un bon documentaire qui montre la complexité de passer de la molécule à la chimie organique puis à la cellule puis à des êtres reproductibles et qui survivent puis à des bactéries puis ... à des êtres capables de jouer du Mozart ou de concevoir le big bang ..... ET SI LA TERRE ETAIT UNIQUE? Réalisateur(s) : Laurent LICHTENSTEIN – Auteur(s) : Serge BRUNIER, Bruno BUCHER Première diffusion: 24 septembre 2020 à 20h50 sur France 5. En s’appuyant sur les travaux d’astronomes, de cosmologistes et de biologistes, ce film propose un voyage au cœur de notre système solaire et nous fait découvrir l’incroyable concours de circonstances qui a permis l’émergence de la vie terrestre.


Pseudo : Eléa Coblan - Avis de la page Mission Mars. : Merci CB Pas de rediffusion prévue mais on doit pouvoir trouver ce documentaire en streaming.


Pseudo : Eléa Coblan - Avis de la page Eugène Delacroix : Paul Sanda : ton livre "Les constellations de Charles Albert Cingria" m'a inspiré ce chapitre sur Delacroix, notamment sur sa vision personnelle de l'Orient. J'imagine que Delacroix a eu cette même vision.


Pseudo : CB - Avis de la page Conscience ou Inconscience. : L’immortalité pour quelques uns et le reste de l’humanité comme source de pièces de rechange pour ces êtres d’exception. Une vraie science fiction devenue réalité dans le cerveau de ces fous … Vivre c’est mourir c’est transmettre c’est aimer. Etre immortel à quoi cela mène-t-il ? On a plus besoin de se reproduire, on a plus de sentiment d’urgence. A quoi bon aimer lui ou elle. Quelle solitude ! Après quelque décennies tous ces immortels se marcheront dessus et alors comment s’en débarrasser il faudra bien réinventer la mort … bien sûr pour les autres. Que les œuvres des poètes, des artistes confirmés ou en herbe, soient immortelles, là oui on peut le dire, le souhaiter. La science c’est magnifique. J’ai passé une partie de l’après midi à regarder ces astronautes faire une sortie dans l’espace. Il est dans la nature de l’homme de se dépasser mais aussi de rester humble devant la beauté d’un Penseur, d’un éphémère ou d’une immortelle.


Pseudo : Christian Eychloma - Avis de la page Conscience ou Inconscience. : Quand Avril met dans les jardins La blondeur des printemps soudains, Les senteurs, les floraisons brèves, Quand l’Homme, cet étourdi S’élance, tranquille et hardi, Solitaire, à l’assaut d’un rêve…'


Pseudo : MVA - Avis de la page Le libertarisme : La République s’essouffle, c'est un monde de culture occidental, la République a créé le libéralisme , voir aussi la Liberté (mais , faut pas l'oublier Napoléon a impose l' Empire à la révolution) ...Liberté, Libertaire, Libéral, (voir Libversque...cad écrit mais à ressentir c'est autre chose , pour faire très bref ) sont des mots finalement de 'soumission' /// L'Anarchie n'a qu'une règle = pas de règle, et encore c'est pas une règle ... quand je m'écoute je sent la Liberté jaillir comme le printemps à écouter parfois, mais bien souvent je ne vois aucun enrichissement ... on peut aussi discuter de fanatisme et passion ...(bha ! pour juste un truc 'il souffrit sa passion' ...le reste à chacun d'y mettre son ressenti) mais je termine juste par une chose, importante = aider l'autre ? mais cela n'existe qu'en occident ...et n'en déplaise aux autres, comme à moi-même en plus ! c'est christique ...partout dans ces mondes , sans évolution, l''autre', qui n'est pas dans son système irraisonné ; est un ennemi ...souvent , dans ma vie j'ai voulu donner l'Ostie (oui sans un H) afin que le fleuve de l'esprit s'ouvre au plus large sur l'Océan ...mais les 'cultes' (sans culture) m'abaissaient au néant ...


Pseudo : CB - Avis de la page L : 'L'intelligence des plantes' me rappelle un livre que j'ai beaucoup aimé 'Rhétorique fabuleuse' d'André Dhôtel.


Pseudo : Eléa Coblan - Avis de la page L : Merci CB, un livre que je lirai...


Pseudo : Guépard - Avis de la page Après les signes, les récits du Déluge : Bel article.


Pseudo : Richard C - Avis de la page Cycle François Mitterrand - 1 - Premier amour : N'oublie pas la Cagoule, la Francisque, le pseudo attentat de l'Observatoire, la répression ou plutôt le 'maintien de l'ordre' initié en Algérie quand le personnage était ministre de l'Intérieur... etc. En effet, tu ne vas pas manquer de matière. Quel dommage que l'Internet n'existait pas à son époque et que la presse ait toujours été aussi pleutre... à part Jean-Edern Allier, qui chuta de vélo, malencontreusement, un petit matin à Deauville, alors qu'il était quasiment aveugle (ce dont je puis témoigner puisque je le croisais régulièrement dans mon quartier à l'époque)... Ne parlons ni de Patrice Pellat ou de François de Grossouvre dont la mort interroge toujours. Quant à Bérégovoy...???? Bon courage chère Maryse !


Pseudo : Paul Sanda - Avis de la page Petit, particulièrement petit, infiniment petit ! : Merci.


Pseudo : MVA - Avis de la page Politique fiction : ou pure friction...on est en politique !!!


Pseudo : MVA - Avis de la page Politique fiction : ou pure friction...on est en politique !!!


Pseudo : Paul Sanda - Avis de la page Eric Z mon amour. : Nous vivons une époque moderne... Ahaha. Merci Elea Coblan


Pseudo : Eléa Coblan - Avis de la page Eric Z mon amour. : A Paul Sanda : Oui, une époque moderne. Selon Philippe Meyer, il y a déjà si longtemps AHahAh !


Pseudo : Henri-Étoile - Avis de la page Après les signes, les récits du Déluge : Pour dire que j'apprécie beaucoup ce texte à propos de la Légende du 'Deluge' et ce qui est mis en évidence dans l'intention sous-jacente de la fabrication de ce genre de mythe, qui rejoint exactement l'intention globale de l'invention bricolée de toute pièces des Déesses et des Dieux pour en arriver à un Dieu Unique avec une efficacité augmentée pour la 'gestion des masses par les peurs... Le tout à partir d'un ramassis de légendes urbaines construites depuis les premières communautés humaines pour de simples histoires d'organisation de dominations par la violence et le pouvoir... Terrible! Et merci pour le déroulé exhaustif de cette culture planétaire de la peur. On retrouve le même phénomène planétaire avec l'émergence simultanée des civilisations des pyramides et autres tumulus... (Asie, Amérique, Europe, etc.) Fascinant!


Pseudo : Henri-Étoile - Avis de la page L : Yesss! Super intéressant, Je suis allé en Grèce et cet article m'éclaire sur ce que j'ai vu alors, début des années 80, sans avoir étudié la chose de la sorte passionnant. On retrouve sur des sites de notre région et qui sont encore étudiés aujourd'hui ce phénomène de déplacements de la population des hauteurs vers les vallées. C'est le cas bien connu dans la région avec le site de Berniquaut (une référence) qui est à l'origine des villes de Durfort et de Sorèze par ce même phénomène de déplacemens des populations, les sites sacrées (culte, nécropoles, etc, restant sur la hauteur. Idem pour le Castrum de Contrast, celui de Roquefort et bien d'autres exemples encore. Bon, nous sommes bien d'accord, le faste en moins... À lire le paragraphe sur le l'Acropole en tant que lieu d'adoration de la Déesse, on ne peut que penser aux ouvrages de Pierre Louÿs(talentueux et humble faussaire), écrits-récits autant historiques que romanesque, notamment son 'Aphrodite' (bouleversant!) Sympathique excursion qui réactive la mémoire des rues d'Athènes depuis lesquelles on observe cette hauteur mythique..


Pseudo : Henri-Étoile - Avis de la page Notre univers est étrange. : Wouaouh! Sacré article qui procure certains vertiges, aux sens propres comme figurés... Et où l'on retrouve la Magie Féérique et scientifique de Lewis Carroll avec son 'Heure du Thé' ! Rhôôôôôôôô! Mais un des ateurs d'ouvrages cité en référence, sur un plan plus Terreà Terre bien que surréaliste à propos de la vie humaine et terrestre m'a rappellé un personnage célèbre pour sa vision du Monde très en phase avec ses Mystères (de lui-même et du Monde), c'est une référence à propos de cet auteur et de sa relation à l'orthodoxie (cé très capillotracté, Hein!)religieuse s'entend..., et à propos de l'Amour et de certains rituels sociaux on peut toujours adapter et s'adapter..., pour preuve: https://www.dailymotion.com/video/x7v41y2


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page L : C'est un sacré raccourci que de faire entrer l'amour dans le champ social, C'est enfermer la vie que de la cantonner à une fonction sociale. La Fonction sociale existe pour la survie, on pourrait s'en passer et en mourir sans aucune autre conséquence que la mort, De fait oui, l'individu cherche constamment à fuir ce qui va l'enfermer. L'être humain se conforme aux contraintes sociales pour survivre et non pour vivre puisque le social consiste à l'enfermer. Il accepte de survivre sur la base de la croyance et de l'espoir, moyennant quelques sesterces et un accès au réseau internet(quand même)


Pseudo : - Avis de la page : Bonjour, Je me permets de vous contacter car notre outil d'analyse de site pourrait vous int resser. N'h sitez pas visiter notre site https://seowin.app et le tester gratuitement. Je reste votre disposition si vous avez la moindre question. Bien vous, Hugo


Pseudo : Guépard - Avis de la page François 1er visite Cordes : Bravo !!!


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page Le monde selon Jim, Bruno Geneste : Superbe action que de publier un ouvrage sur la poésie de manière générale et sur un poète Rock en particulier, même si Dylan a été honoré d'un prix nobel, et donc reconnu en tant que poète comme l'était et l'est devant l'Éternel (non genré je précise-sic). Le poète Léo Ferré chante dans un texte de Jean-Roger Caussimon ' Qu'advient-il de ceux qui vont à sa rencontre?' à propos de la mort comme l'a fait Jim à Paris dans un pays dont il aimait tant la littérature... Un mort devant laquelle il est allé dans ses vingt sept ans et que le même poète voit comme 'fille de vingt ans à chevelure rousse En voile de mariée' à l'image de la compagne de Jim dans ses dernières heures qui elle aussi choisira d'aller à 'sa rencontre'. Un lien intéressant avec un autre auteur-compositeur bien vivant lui qui évoque la relation entre mondes physiques et mondes invisibles, avec comme exemple des plus riches l'oeuvre de Mozart https://www.francemusique.fr/emissions/la-quatre-saisons-n-est-pas-qu-une-pizza/arthur-h-la-musique-est-un-passage-entre-le-monde-physique-et-le-monde-spirituel En tous cas, merci encore pour cet article et ce livre, car de leur vivant bien peu d'ouvrages étaient consacrés aux écritures de ces textes musicaux rock et encore moins aux poètes rock...


Pseudo : Henri-Étoile - Avis de la page Le dictionnaire du Diable : Ralph Steafdmon, déjà tout un Monde!! Quant à la Sorcellerie et à la Magie, que de taboux et de mystères, une exposition récente et à venir a mis et mettra le sujet en exergue... 'Magies et Sorcelleries' entre Toulouse et Lyon. Ne parle-t'on pas de 'fantômes tapageurs'...?


Pseudo : Henri Etoile - Avis de la page L : Il y a Vie à Venise, et comme ici, Foin d'espoir, il est une insulte faite au Temps Présent,


Pseudo : Cloclo - Avis de la page Jésus, le plus fragile des dieux ! : J'aime ce texte qui fait réfléchir sur l'homme Jésus et sa destinée. Merci Eléa


Pseudo : Paul Sanda - Avis de la page L’Âme des Œufs. : Très intéressant. Merci


Pseudo : Henri-Étoile - Avis de la page L’Âme des Œufs. : En lisant le passage au Colomb dit le Xtophe, c'est à Bataille que j'ai songé et à 'l'Assiete au lait' dans une certaine 'Histoire de Bataille où il est également abordé l'épinoeud(sic) sujet de la nourriture, il s'ensuit ceci dans un dialogue des plus juvéniles...: 'Il y avait dans le couloir une assiette de lait destinée au chat. – Les assiettes, c'est fait pour s'asseoir, dit Simone. Paries-tu ? Je m'assois dans l'assiette.' Non...? Quand la langue se fait des noeuds dans nos têtes...


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page Il vaut mieux prévoir un parapluie : Le Dolmen de Vaour....?


Pseudo : Elea Coblan - Avis de la page Il vaut mieux prévoir un parapluie : Le Dolmen de Vaour....? : Henri Etoile, oui, le Dolmen de Vaour.


Pseudo : Paul Sanda - Avis de la page Paul Sanda, les constellations de Charles-Albert Cingria : Merci


Pseudo : Christian Eychloma - Avis de la page Christian Eychloma. Entre fable et science. : Pour une femme, peut-être ? N'a-t-on pas dit que « si le nez de Cléopâtre eût été plus court, toute la face du monde en eût été changée » ? Maryse bonjour et merci infiniment ! Non, bien sûr, le monde n'est certes pas à la veille de changer sur le fond, car c'est bien malheureusement pour l'essentiel nos sentiments les plus mesquins qui en tissent la trame... Je te souhaite une excellente fin de journée avec le beau temps (heu... c'est de l'humour ! )


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page Qui a volé le fil d : L'aparté dans ce texte consacré à l'écrit et à la parole, aparté relatif à « nemo censetur ignorare legem »... autant récemment fait appel au médiatiser de la République (sic) pour résoudre un litige fiscal dont le Trésor Public est lui-même à l'origine, voilà la réponse du Rétorsion Public lui-même...: '(...) (en précisant votre positon et détaillant ce que vous contestez, avec les références des articles du Code général des Impôts que vous invoquez, les Bulletins officiels des Finances Publiques, la jurisprudence et autres). - par courrier : SPFE (...). - par mail : à l'adresse mail suivante : (...) (...)' Autrement dit, c'est donc à moi qu'il revient de fournir au conciliateur fiscal lui même agent du Trésor Public les éléments du Code Des impôts dont ils sont eux-mêmes les auteurs.... C'est beau comme l'Antique Tè! Matous il est compréhensible qu'ils s'y perdent eux-mêmes en se découvrant les victimes de ce qu'ils engendrent chaque instant de leur vie désormais totalement dénuée de sens, 'Vanitas vanitatum et omnia' vanitas,https://linksharing.samsungcloud.com/sjEBY60gepwq Amen! (Et à pieds)


Pseudo : Christian Eychloma - Avis de la page Êtres sur le qui-vive. : Ce recueil est une véritable mine d'or, régulièrement enrichi de curiosités et de courts articles sur des sujets divers et variés, plantant chez le lecteur autant de germes de réflexion ! J'ai bien aimé par exemple la petite dissertation philosophique sur l'image de Dieu... Comme le répétait Henri Laborit, comprendre d'abord comment fonctionne notre cerveau !


Pseudo : Claudette - Avis de la page Êtres sur le qui-vive. : Merci pour ce journal Maryse, moi j'ai aimé ton portrait de Jésus ente autres... tout est si vivant si ouvert. Quel boulot ! Je te souhaite de jolies fêtes de la Nativité et le plein d'amour qui va avec.


Pseudo : Christian Eychloma - Avis de la page D : En conclusion, je pense que nous voilà aujourd'hui contraints à davantage d'humilité en admettant les limites de notre 'processeur' aux cent milliards de neurones et aux 10.000 milliards de connexions nerveuses par cm cube... Dans son ouvrage 'Réapprivoiser la mort', Patrice Van Eersel nous explique qu'après 'l'âge magique' et 'l'âge scientifique', voici venu 'l'âge de l'incomplétude', où l'on s'aperçoit que nos théories scientifiques d'avant-garde sont incomplètes, non pas en raison d'une ignorance momentanée ou d'un savoir encore parcellaire, mais par essence même : - incomplétude de la physique (incertitude inhérente à la mécanique quantique) - incomplétude des sciences de l'évolution (insuffisance du 'hasard et de la nécessité') - incomplétude du modèle de 'l'homme neuronal' (inaptitude à embrasser la globalité de la vie psychique) - incomplétude de l'approche psychologique (structuration du sujet autour d'un manque) - incomplétude de la logique même (théorème d'incomplétude de Gödel!) - incomplétude du langage (qui ne peut pas refléter adéquatement la totalité du réel) Soyons par conséquent modestes dans nos prétentions à tout expliquer !


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page Noël 2021. : Il fallait y penser...,faire une liste de commandements liberatoires personnels libératoire de justement ces entraves sociales et morales, Maryse le fait, pour Noël, Marysec avec son parapluie, c'est comme une enfant dans les chaussures trop grandes de sa maman... Merci pour l'image de Noël! (De l'enfance, pas de la crèche!!!)


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page Précieuse mais pas ridicule sans être parfaite... : Ou encore comment vivre sans peur et en confiance, confiance en Soi et Connaissance de Soi, Vivre et découvrir librement, la Liberté,


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page Notre jardin. : Mais quelle idée Maryse de faire intervenir le seul mot et la seule idée de-du 'Travail' dans un si joli texte aux évocations tellement sensibles et touchantes... Cette Lydie Parisse parle à merveille de ce qui est accessible à qui veut bien... à qui veut bien de son propre Jardin à soi-même... à cultiver, à amender, à amonder, à émonder mais certainement pas à 'travailler'... Rhôôôô! Quand même!!!! Quel gâchis!!! ;)


Pseudo : gilles B - Avis de la page J'aime mes messages. : Bonjour Maryse; superbe synthèse d'une situation quotidienne vécue par le peuple, jugulant ainsi tout esprit de révolte. Cette thèse, celle de la copie, j'ai eu l'opportunité de l'évoquer lors d'un oral de concours, puis à la demande d'une personne qui, sortant d'une ' formation ' sur les contrefaçons, voulut en présenter une identique dans une autre ville, et, ainsi, fit appel à moi. L'entretien fut fort riche, même si les visuels/ ciblages ne furent pas forcément identiques de prime abord. Pour finir, nous avons convenu, d'un accord commun, que chaque marché a une origine, et que, comme tu le maitrises si bien, celui du ' semblant égalitaire' reste et restera toujours celui de l'apaisement des peuples. Très belle journée Maryse.


Pseudo : Henri-Étoile - Avis de la page moi, je. : Intéressant et riche, mais j'y reviendrai car voilà qui sollicite certaines fonctions cérébrales quand même. L'image d'illustration m'a fait immédiatement penser à une ville d'Auvergne de type Volvic, Clermont-Ferrand, etc. Je comprends pourquoi e lisant ton explication. Pour ton commentaire additionnel/image j'aurais plutôt dit 'Dessous' à propos de cerveau/stéréotypes


Pseudo : Henri-Étoile - Avis de la page J’aime mes messages. : J'adore ton humour et tes humours et même tes sélections de citations placées à bon escient… C'est un plaisir délectable dont je ne calculerai pas le prix au prorata de : l'abonnement internet, consommation d'électricité, empreinte carbone, la part de l'amortissement du siège sur lequel je suis assis, prorata des intérêts du prêt immobilier arrivé à son terme, etc., etc. rapporté au temps passé dans ce bien immobilier à écrire ce commentaire, etc. Vive la simplicité!


Pseudo : Paul Sanda - Avis de la page Moi, Présidente. : Bravo. Faire quelque chose qui passe par le cœur et qui élève l'âme. C'est très beau. Ne jamais perdre la vraie notion de ce qui est essentiel. Et transmettre avec justesse ce qui est nécessaire pour devenir davantage soi-même. Bon courage pour la suite.


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page 3 desserts Maman. : Et merci pour cette nouvelle recette du gâteau au yaourt...


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page Paul Sanda, Bruno Geneste - 800 ans Cordes-sur-Ciel. : Hello! https://photos.app.goo.gl/cpPqUK3twT9k5AuVA Le Moulin de Maryse...? Bien à toi, Henri


Pseudo : Elea Coblan - Avis de la page Paul Sanda, Bruno Geneste - 800 ans Cordes-sur-Ciel. : @ Henri Étoile : Non ce moulin n'est pas le mien, le mien est beaucoup plus joli et les fées plus nombreuses ! Bonne soirée.


Pseudo : Paul Sanda - Avis de la page Paul Sanda, Bruno Geneste - 800 ans Cordes-sur-Ciel. : Merci merci.


Pseudo : Henri-Étoile - Avis de la page Militer sous la troisième république. : La lecture de ces faits et de la place de tout ce qui est éducatif dans la région entre autres choses me fait soudain penser à un auteur local, poète-écrivain de nostre païs de cette si riche Vallée Aurifère (Le 'Vi-Aur'). Le dit Poète Joan Bodon-Jean Boudou qui a arpenté le pays d'ici était enseignant, de la génération juste après celle de ton aïeul justement. Et ce Joan Bodon, poète (dit) occitan a beaucoup évoqué la vie paysanne, la vie locale du pays, au travers de la vie rurale. Une vie locale rythmée par les saisons et notamment les moissons. Dans ses récits, Joan Bodon mentionne fréquemment le rôle central et fondamental des Moulins de la Vallée, dont un de tes aïeux (le même que celui de ces faits 'éducatifs' si j'ai tout bien compris)était un acteur notoire en tant que meunier puisqu'un ouvrage parle de 'dynastie de meuniers' à son sujet et au sujet du Moulin de Maryse (!!!), donc! On sort différent des lectures des livres de Jean Boudou..., homme du Monde puisqu'il aura aussi beaucoup vécu en Algérie en tant qu'enseignant, et aura aussi connu le STO en Pologne.


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page La bombe. : Le Bouton Rouge, J'ai honte!!! Je peux...?


Pseudo : Elea Coblan - Avis de la page La bombe. : @ Henri, oui tu peux car tu es daltonien, ouf (sourire)


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page CoCoLiCo : Rhôôôôô ! Une Forêt de Boutons Rouges... Et un poème d'invitation à, C'est bucolique, Mé quel Printemps!!!


Pseudo : Elea Coblan - Avis de la page CoCoLiCo : @ Henri : Tu vois que je n'ai absolument pas l'âme castratrice. Tu voulais des boutons ? En voici, en voilà ! D'une jolie couleur rouge en plus...


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page Écrire : Les boîtes à lettres sont toujours pleines de courriers indésirables, https://photos.app.goo.gl/6ppB49Y6dVk6EVit5


Pseudo : Henri-Étoile - Avis de la page Ose. : *Toutes les formes de 'pouvoirs' se révèlent toxiques, tôt ou tard, comme tout ce qui est 'jugement' de valeur et/ou de critique... Les 'peurs' seules permettent au pouvoir et au jugement de s'instiller/s'immiscer dans toutes les relations, relations à soi, au Monde, à l'Autre... C'est ainsi que les déesses pour commencer, puis les Dieux, puis le Dieu Unique puis les Religions ont été inventées et sont plus que jamais actives... *Points de vues personnels


Pseudo : gillesb - Avis de la page Intégration et religions : merci de ton regard partagé sur l'intégration et les religions. Dans notre pays, l'assimilation a pris très vite le pas sur l'intégration, la justice depuis 1981, par le truchement de jurisprudences, a fait ce qu'il fallait, le législateur fébrile s'étant contenté de valider le(s) texte(s) de loi(s) proposé(s) sans en faire trop et attendre que cela soit établi par les juges. Au vu des jugements rendus, l'intégrité de la justice qui se veut indépendante, mais qui a son ministère ( ce qui est normal) et ainsi ses fonctionnaires donc les salaires versés par l'état ( qui gère aussi les carrières), je doute de la liberté des juges en matière d'application des lois. Sans doute, ai-je trop fréquenté les chambres d'assises ou de correctionnelles et assisté par ce fait à la création de pédigrées pour certains alors que pour d'autres, pour les mêmes motifs, le couperet était de mise. J'ai beaucoup aimé ton passage sur les propos du Rabbin qui, ma foi mettent de l'eau à mon moulin. À mon avis rien ne se fera dans cette société dans laquelle la vie en accord et sérénité est impossible, il faudrait détruire ce communautarisme implanté depuis fort longtemps, et mettre tout le monde sur un même pied d'égalité qui commencerait par le volet fiscal et non ce gouffre abyssin qui sépare et qui crée tant de malaises chez les accueillants, dits les 'habitants historiques'. Très belle journée Maryse. Bises????????


Pseudo : Richardcaf - Avis de la page Discussion avec mon chien. : Bonjour, SERVEUR FTP MP3 PRIVÉ 0-DAY Accéder https://0daymusic.org * Mode de paiement revendeur : AltCoins, Webmoney, Perfect Money. * Choisissez le mode de paiement : BitCoin, virement bancaire, Western Union. * Capacité du serveur : 347TB, MP3, FLAC, LIVESETS, Clips vidéo. * Prise en charge : FTP, FTPS (File Transfer Protocol Secure), SFTP et HTTP, HTTPS. * Délai de livraison du compte : 1 à 48 heures. * Plus de 15 ans d'archives. * Vitesse globale du serveur : 1 Gb/s. * Facile à utiliser : la plupart des genres sont triés par jours.


Pseudo : Robbfu - Avis de la page Politique fiction : In today's fast-paced world, staying informed about the latest updates both domestically and globally is more crucial than ever. With a plethora of news outlets competing for attention, it's important to find a dependable source that provides not just news, but insights, and stories that matter to you. This is where USAtoday.com , a top online news agency in the USA, stands out. Our commitment to delivering the most current news about the USA and the world makes us a primary resource for readers who seek to stay ahead of the curve. Subscribe for Exclusive Content: By subscribing to USAtoday.com, you gain access to exclusive content, newsletters, and updates that keep you ahead of the news cycle. USAtoday.com is not just a news website; it's a dynamic platform that empowers its readers through timely, accurate, and comprehensive reporting. As we navigate through an ever-changing landscape, our mission remains unwavering: to keep you informed, engaged, and connected. Subscribe to us today and become part of a community that values quality journalism and informed citizenship.




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