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RESSOURCES/Destin de femmes Destin de femmes


Il sera question dans ce chapitre du destin, des femmes et de la société racontée par Maupassant en 1884. Mesurer le lent changement des mentalités juste un siècle après la Révolution n'est pas inintéressant. Cette nouvelle éclaire bien le sujet.

Carlos Ruiz Zafon définit le destin facétieux ainsi :
"Mon ami, ne perdez pas espoir.
S'il y a une chose que j'ai apprise dans cette chienne de vie, c'est que le destin se trouve toujours au coin de la rue. Comme le pickpocket, la tapineuse ou le vendeur de billets de loterie, ses trois incarnations les plus fréquentes. Et si vous décidez un jour de partir à la recherche de votre destin (parce qu'il ne fait pas de visite à domicile), vous verrez, il vous laissera une deuxième chance."

Maupassant illustre parfaitement les taquineries du destin d'une femme dans sa nouvelle « La parure ».
Il dépeint avec finesse la société de cette époque jusqu'à une étonnante chute.

----> La parure :

C'était une de ces jolies et charmantes filles, nées, comme par une erreur du destin, dans une famille d'employés.
Elle n'avait pas de dot, pas d'espérances, aucun moyen d'être connue, comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué; et elle se laissa marier avec un petit commis du ministère de l'Instruction publique.

Elle fut simple, ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée; car les femmes n'ont point de caste ni de race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant de naissance et de famille.
Leur finesse native, leur instinct d'élégance, leur souplesse d'esprit sont leur seule hiérarchie, et font des filles du peuple les égales des plus grandes dames.

Elle souffrait sans cesse, se sentant née pour toutes les délicatesses et tous les luxes.
Elle souffrait de la pauvreté de son logement, de la misère des murs, de l'usure des sièges, de la laideur des étoffes. Toutes ces choses, dont une autre femme de sa caste ne se serait même pas aperçue, la torturaient et l'indignaient. La vue de la petite Bretonne qui faisait son humble ménage éveillait en elle des regrets désolés et des rêves éperdus. Elle songeait aux antichambres nettes, capitonnées avec des tentures orientales, éclairées par de hautes torchères de bronze, et aux deux grands valets en culotte courte qui dorment dans les larges fauteuils, assoupis par la chaleur lourde du calorifère. Elle songeait aux grands salons vêtus de soie ancienne, aux meubles fins portant des bibelots inestimables, et aux petits salons coquets parfumés, faits pour la causerie de cinq heures avec les amis les plus intimes, les hommes connus et recherchés dont toutes les femmes envient et désirent l'attention.

Quand elle s'asseyait, pour dîner, devant la table ronde couverte d'une nappe de trois jours, en face de son mari qui découvrait la soupière en déclarant d'un air enchanté: «Ah! le bon pot-au-feu! je ne sais rien de meilleur que cela, elle songeait aux dîners fins, aux argenteries reluisantes, aux tapisseries peuplant les murailles de personnages anciens et d'oiseaux étranges au milieu d'une forêt de féerie; elle songeait aux plats exquis servis en des vaisselles merveilleuses, aux galanteries chuchotées et écoutées avec un sourire de sphinx, tout en mangeant la chair rose d'une truite ou des ailes de gélinotte.


Elle n'avait pas de toilettes, pas de bijoux, rien.
Et elle n'aimait que cela; elle se sentait faite pour cela. Elle eût tant désiré plaire, être enviée, être séduisante et recherchée.

Elle avait une amie riche, une camarade de couvent qu'elle ne voulait plus aller voir, tant elle souffrait en revenant.
Et elle pleurait pendant des jours entiers, de chagrin, de regret, de désespoir et de détresse.

Or, un soir, son mari rentra, l'air glorieux et tenant à la main une large enveloppe.

-Tiens, dit-il, voici quelque chose pour toi.

Elle déchira vivement le papier et en tira une carte qui portait ces mots:
"Le ministre de l'Instruction publique et Mme Georges Ramponneau prient M.
et Mme Loisel de leur faire l'honneur de venir passer la soirée à l'hôtel du ministère, le lundi 18 janvier."

Au lieu d'être ravie, comme l'espérait son mari, elle jeta avec dépit l'invitation sur la table, murmurant:
- Que veux-tu que je fasse de cela?
- Mais, ma chérie, je pensais que tu serais contente.
Tu ne sors jamais, et c'est une occasion, cela, une belle! J'ai eu une peine infinie à l'obtenir. Tout le monde en veut; c'est très recherché et on n'en donne pas beaucoup aux employés. Tu verras là tout le monde officiel.
Elle le regardait d'un œil irrité, et elle déclara avec impatience:
- Que veux-tu que je me mette sur le dos pour aller là?
Il n'y avait pas songé; il balbutia:
- Mais la robe avec laquelle tu vas au théâtre.
Elle me semble très bien, à moi...
Il se tut, stupéfait, éperdu, en voyant que sa femme pleurait.
Deux grosses larmes descendaient lentement des coins des yeux vers les coins de la bouche; il bégaya:
- Qu'as-tu? qu'as-tu?
Mais, par un effort violent, elle avait dompté sa peine et elle répondit d'une voix calme en essuyant ses joues humides:
- Rien.
Seulement je n'ai pas de toilette et par conséquent, je ne peux aller à cette fête. Donne ta carte à quelque collègue dont la femme sera mieux nippée que moi.
Il était désolé.
Il reprit:
- Voyons, Mathilde.
Combien cela coûterait-il, une toilette convenable, qui pourrait te servir encore en d'autres occasions, quelque chose de très simple?
Elle réfléchit quelques secondes, établissant ses comptes et songeant aussi à la somme qu'elle pouvait demander sans s'attirer un refus immédiat et une exclamation effarée du commis économe.

Enfin, elle répondit en hésitant:
- Je ne sais pas au juste, mais il me semble qu'avec quatre cents francs je pourrais arriver.

ll avait un peu pâli, car il réservait juste cette somme pour acheter un fusil et s'offrir des parties de chasse, l'été suivant, dans la plaine de Nanterre, avec quelques amis qui allaient tirer des alouettes, par là, le dimanche.

Il dit cependant:

- Soit.
Je te donne quatre cents francs. Mais tâche d'avoir une belle robe.

Le jour de la fête approchait, et Mme Loisel semblait triste, inquiète, anxieuse.
Sa toilette était prête cependant. Son mari lui dit un soir:
- Qu'as-tu? Voyons, tu es toute drôle depuis trois jours.

Et elle répondit:
- Cela m'ennuie de n'avoir pas un bijou, pas une pierre, rien à mettre sur moi.
J'aurai l'air misère comme tout. J'aimerais presque mieux ne pas aller à cette soirée.
Il reprit:
- Tu mettras des fleurs naturelles.
C'est très chic en cette saison-ci. Pour dix francs tu auras deux ou trois roses magnifiques.
Elle n'était point convaincue.

- Non.
.. il n'y a rien de plus humiliant que d'avoir l'air pauvre au milieu de femmes riches.
Son mari s'écria:
- Que tu es bête! Va trouver ton amie Mme Forestier et demande-lui de te prêter des bijoux.
Tu es bien assez liée avec elle pour faire cela.
Elle poussa un cri de joie.

- C'est vrai.
Je n'y avais point pensé.

Le lendemain, elle se rendit chez son amie et lui conta sa détresse.
Mme Forestier alla vers son armoire à glace, prit un large coffret, l'apporta, l'ouvrit, et dit à Mme Loisel:
- Choisis, ma chère.

Elle vit d'abord des bracelets, puis un collier de perles, puis une croix vénitienne, or et pierreries, d'un admirable travail.
Elle essayait les parures devant la glace, hésitait, ne pouvait se décider à les quitter, à les rendre. Elle demandait toujours:
- Tu n'as plus rien d'autre?
- Mais si.
Cherche. Je ne sais pas ce qui peut te plaire.
Tout à coup elle découvrit, dans une boîte de satin noir, une superbe rivière de diamants; et son cœur se mit à battre d'un désir immodéré.
Ses mains tremblaient en la prenant. Elle l'attacha autour de sa gorge, sur sa robe montante. et demeura en extase devant elle-même.
Puis, elle demanda, hésitante, pleine d'angoisse:
- Peux-tu me prêter cela, rien que cela?
- Mais oui, certainement.

Elle sauta au cou de son amie, l'embrassa avec emportement, puis s'enfuit avec son trésor.


Le jour de la fête arriva.
Mme Loisel eut un succès. Elle était plus jolie que toutes, élégante, gracieuse, souriante et folle de joie. Tous les hommes la regardaient, demandaient son nom, cherchaient à être présentés. Tous les attachés du cabinet voulaient valser avec elle. Le Ministre la remarqua.
Elle dansait avec ivresse, avec emportement, grisée par le plaisir, ne pensant plus à rien, dans le triomphe de sa beauté, dans la gloire de son succès, dans une sorte de nuage de bonheur fait de tous ces hommages, de toutes ces admirations, de tous ces désirs éveillés, de cette victoire si complète et si douce au coeur des femmes.


Elle partit vers quatre heures du matin.
Son mari, depuis minuit, dormait dans un petit salon désert avec trois autres messieurs dont les femmes s'amusaient beaucoup.
Il lui jeta sur les épaules les vêtements qu'il avait apportés pour la sortie, modestes vêtements de la vie ordinaire, dont la pauvreté jurait avec l'élégance de la toilette de bal.
Elle le sentit et voulut s'enfuir, pour ne pas être remarquée par les autres femmes qui s'enveloppaient de riches fourrures.
Loisel la retenait:
- Attends donc.
Tu vas attraper froid dehors. Je vais appeler un fiacre.
Mais elle ne l'écoutait point et descendait rapidement l'escalier.
Lorsqu'ils furent dans la rue, ils ne trouvèrent pas de voiture; et ils se mirent à chercher, criant après les cochers qu'ils voyaient passer de loin.
Ils descendaient vers la Seine, désespérés, grelottants.
Enfin, ils trouvèrent sur le quai un de ces vieux coupés noctambules qu'on ne voit dans Paris que la nuit venue, comme s'ils eussent été honteux de leur misère pendant le jour.
Il les ramena jusqu'à leur porte, rue des Martyrs, et ils remontèrent tristement chez eux.
C'était fini, pour elle. Et il songeait, lui, qu'il lui faudrait être au Ministère à dix heures.

Elle ôta les vêtements dont elle s'était enveloppé les épaules, devant la glace, afin de se voir encore une fois dans sa gloire.
Mais soudain elle poussa un cri. Elle n'avait plus sa rivière autour du cou!
Son mari, à moitié dévêtu déjà, demanda:
- Qu'est-ce que tu as?
Elle se tourna vers lui, affolée:
- J'ai.
.. j'ai... je n'ai plus la rivière de Mme Forestier.
Il se dressa, éperdu:
- Quoi!.
.. comment!... Ce n'est pas possible!
Et ils cherchèrent dans les plis de la robe, dans les plis du manteau, dans les poches, partout.
Ils ne la trouvèrent point.
Il demandait:
- Tu es sûre que tu l'avais encore en quittant le bal?
- Oui, je l'ai touchée dans le vestibule du Ministère.

- Mais si tu l'avais perdue dans la rue, nous l'aurions entendue tomber.
Elle doit être dans le fiacre.
- Oui.
C'est probable. As-tu pris le numéro?
- Non.
Et toi, tu ne l'as pas regardé?
- Non.

Ils se contemplaient atterrés.
Enfin Loisel se rhabilla.
- Je vais, dit-il, refaire tout le trajet que nous avons fait à pied, pour voir si je ne la retrouverai pas.

Et il sortit.
Elle demeura en toilette de soirée, sans force pour se coucher, abattue sur une chaise, sans feu, sans pensée.

Son mari rentra vers sept heures.
Il n'avait rien trouvé.
Il se rendit à la Préfecture de police, aux journaux, pour faire promettre une récompense, aux compagnies de petites voitures, partout enfin où un soupçon d'espoir le poussait.

Elle attendit tout le jour, dans le même état d'effarement devant cet affreux désastre.

Loisel revint le soir, avec la figure creusée, pâlie; il n'avait rien découvert.

- Il faut, dit-il, écrire à ton amie que tu as brisé la fermeture de sa rivière et

que tu la fais réparer.
Cela nous donnera le temps de nous retourner.
Elle écrivit sous sa dictée.

Au bout d'une semaine, ils avaient perdu toute espérance.

Et Loisel, vieilli de cinq ans, déclara:
- Il faut aviser à remplacer ce bijou.


Ils prirent, le lendemain, la boîte qui l'avait renfermé, et se rendirent chez le joaillier, dont le nom se trouvait dedans.
Il consulta ses livres:
- Ce n'est pas moi, madame, qui ai vendu cette rivière; j'ai dû seulement fournir l'écrin.

Alors ils allèrent de bijoutier en bijoutier, cherchant une parure pareille à l'autre, consultant leurs souvenirs, malades tous deux de chagrin et d'angoisse.

Ils trouvèrent, dans une boutique du Palais Royal, un chapelet de diamants qui leur parut entièrement semblable à celui qu'ils cherchaient.
Il valait quarante mille francs. On le leur laisserait à trente-six mille.
Ils prièrent donc le joaillier de ne pas le vendre avant trois jours.
Et ils firent condition qu'on le reprendrait pour trente-quatre mille francs, si le premier était retrouvé avant la fin de février.
Loisel possédait dix-huit mille francs que lui avait laissés son père.
Il emprunterait le reste.
Il emprunta, demandant mille francs à I'un, cinq cents à l'autre, cinq louis par-ci, trois louis par-là.
Il fit des billets, prit des engagements ruineux, eut affaire aux usuriers, à toutes les races de prêteurs. Il compromit toute la fin de son existence, risqua sa signature sans savoir même s'il pourrait y faire honneur, et, épouvanté par les angoisses de l'avenir, par la noire misère qui allait s'abattre sur lui, par la perspective de toutes les privations physiques et de toutes les tortures morales, il alla chercher la rivière nouvelle, en déposant sur le comptoir du marchand trente-six mille francs.
Quand Mme Loisel reporta la parure à Mme Forestier, celle-ci lui dit, d'un air froissé:
- Tu aurais dû me la rendre plus tôt, car je pouvais en avoir besoin.


Elle n'ouvrit pas l'écrin, ce que redoutait son amie.
Si elle s'était aperçue de la substitution, qu'aurait elle pensé? qu'aurait-elle dit? Ne l'aurait-elle pas prise pour une voleuse?
Mme Loisel connut la vie horrible des nécessiteux.
Elle prit son parti, d'ailleurs, tout d'un coup, héroïquement. Il fallait payer cette dette effroyable. Elle payerait. On renvoya la bonne; on changea de logement; on loua sous les toits une mansarde.
Elle connut les gros travaux du ménage, les odieuses besognes de la cuisine.
Elle lava la vaisselle, usant ses ongles roses sur les poteries grasses et le fond des casseroles. Elle savonna le linge sale, les chemises et les torchons, qu'elle faisait sécher sur une corde; elle descendit à la rue, chaque matin, les ordures, et monta l'eau, s'arrêtant à chaque étage pour souffler. Et, vêtue comme une femme du peuple, elle alla chez le fruitier, chez l'épicier, chez le boucher, le panier au bras, marchandant, injuriée, défendant sou à sou son misérable argent.
Il fallait chaque mois payer des billets, en renouveler d'autres, obtenir du temps.

Le mari travaillait, le soir, à mettre au net les comptes d'un commerçant, et la nuit, souvent, il faisait de la copie à cinq sous la page.

Et cette vie dura dix ans.


Au bout de dix ans, ils avaient tout restitué, tout, avec le taux de l'usure, et l'accumulation des intérêts superposés.

Mme Loisel semblait vieille, maintenant.
Elle était devenue la femme forte, et dure, et rude, des ménages pauvres. Mal peignée, avec les jupes de travers et les mains rouges, elle parlait haut, lavait à grande eau les planchers. Mais parfois, lorsque son mari était au bureau, elle s'asseyait auprès de la fenêtre, et elle songeait à cette soirée d'autrefois, à ce bal où elle avait été si belle et si fêtée.
Que serait-il arrivé si elle n'avait point perdu cette parure? Qui sait? qui sait? Comme la vie est singulière, changeante! Comme il faut peu de chose pour vous perdre ou vous sauver!

Or, un dimanche, comme elle était allée faire un tour aux Champs-Elysées pour se délasser des besognes de la semaine, elle aperçut tout à coup une femme qui promenait un enfant.
C'était Mme Forestier, toujours jeune, toujours belle, toujours séduisante.
Mme Loisel se sentit émue.
Allait-elle lui parler? Oui, certes. Et maintenant qu'elle avait payé, elle lui dirait tout. Pourquoi pas?
Elle s'approcha.

- Bonjour, Jeanne.

L'autre ne la reconnaissait point, s'étonnant d'être appelée ainsi familièrement par cette bourgeoise.

Elle balbutia:
- Mais.
.. madame!... Je ne sais... Vous devez vous tromper.
- Non.
Je suis Mathilde Loisel.
Son amie poussa un cri.

- Oh!.
.. ma pauvre Mathilde, comme tu es changée!...
- Oui, j'ai eu des jours bien durs, depuis que je ne t'ai vue; et bien des misères.
.. et cela à cause de toi!...
- De moi .
. . Comment ça?
- Tu te rappelles bien cette rivière de diamants que tu m'as prêtée pour aller à la fête du Ministère.

- Oui.
Eh bien?
- Eh bien, je l'ai perdue.

- Comment! puisque tu me l'as rapportée.

- Je t'en ai rapporté une autre toute pareille.
Et voilà dix ans que nous la payons. Tu comprends que ça n'était pas aisé pour nous, qui n'avions rien... Enfin c'est fini, et je suis rudement contente.
Mme Forestier s'était arrêtée.

- Tu dis que tu as acheté une rivière de diamants pour remplacer la mienne?
- Oui.
Tu ne t'en étais pas aperçue, hein! Elles étaient bien pareilles.
Et elle souriait d'une joie orgueilleuse et naïve.

Mme Forestier, fort émue, lui prit les deux mains.

- Oh! ma pauvre Mathilde! Mais la mienne était fausse.
Elle valait au plus cinq cents francs!...

Photo prise à la Galerie des Offices de Florence : Fransesco Morandini Detto Il Poppi, 1597, élève de Vasari .
Les trois grâces : Aglaea, Euphrosyne et Thalia symbolisant le cercle harmonieux de la joie, l'amitié et la beauté.

( Le 31/03/2021 )











Merci pour les avis que vous avez saisis au bas de chaque page regroupés ci-dessous :

Pseudo : Sophie - Avis de la page Chaude République Dominicaine : Joli site bien documenté


Pseudo : Paul Sanda - Avis de la page Nos ancêtres les gaulois étaient celtes : Très belle critique. Merci Elea Coblan, auteur subtil...


Pseudo : Elea Coblan - Avis de la page Nos ancêtres les gaulois étaient celtes : Merci Paul Sanda et Bruno Geneste de nous offrir ces beaux moments de lecture.


Pseudo : Guépard - Avis de la page Fénelon : A noter : "Les aventures de Télémaque" est aussi un pastiche dadaïste écrit par Aragon de l'ouvrage du même nom de Fénelon.


Pseudo : Paul Sanda - Avis de la page Eugène Delacroix : Merci pour ce très beau Delacroix...


Pseudo : CB - Avis de la page Mission Mars. : Sur le sujet un bon documentaire qui montre la complexité de passer de la molécule à la chimie organique puis à la cellule puis à des êtres reproductibles et qui survivent puis à des bactéries puis ... à des êtres capables de jouer du Mozart ou de concevoir le big bang ..... ET SI LA TERRE ETAIT UNIQUE? Réalisateur(s) : Laurent LICHTENSTEIN – Auteur(s) : Serge BRUNIER, Bruno BUCHER Première diffusion: 24 septembre 2020 à 20h50 sur France 5. En s’appuyant sur les travaux d’astronomes, de cosmologistes et de biologistes, ce film propose un voyage au cœur de notre système solaire et nous fait découvrir l’incroyable concours de circonstances qui a permis l’émergence de la vie terrestre.


Pseudo : Eléa Coblan - Avis de la page Mission Mars. : Merci CB Pas de rediffusion prévue mais on doit pouvoir trouver ce documentaire en streaming.


Pseudo : Eléa Coblan - Avis de la page Eugène Delacroix : Paul Sanda : ton livre "Les constellations de Charles Albert Cingria" m'a inspiré ce chapitre sur Delacroix, notamment sur sa vision personnelle de l'Orient. J'imagine que Delacroix a eu cette même vision.


Pseudo : CB - Avis de la page Conscience ou Inconscience. : L’immortalité pour quelques uns et le reste de l’humanité comme source de pièces de rechange pour ces êtres d’exception. Une vraie science fiction devenue réalité dans le cerveau de ces fous … Vivre c’est mourir c’est transmettre c’est aimer. Etre immortel à quoi cela mène-t-il ? On a plus besoin de se reproduire, on a plus de sentiment d’urgence. A quoi bon aimer lui ou elle. Quelle solitude ! Après quelque décennies tous ces immortels se marcheront dessus et alors comment s’en débarrasser il faudra bien réinventer la mort … bien sûr pour les autres. Que les œuvres des poètes, des artistes confirmés ou en herbe, soient immortelles, là oui on peut le dire, le souhaiter. La science c’est magnifique. J’ai passé une partie de l’après midi à regarder ces astronautes faire une sortie dans l’espace. Il est dans la nature de l’homme de se dépasser mais aussi de rester humble devant la beauté d’un Penseur, d’un éphémère ou d’une immortelle.


Pseudo : Christian Eychloma - Avis de la page Conscience ou Inconscience. : Quand Avril met dans les jardins La blondeur des printemps soudains, Les senteurs, les floraisons brèves, Quand l’Homme, cet étourdi S’élance, tranquille et hardi, Solitaire, à l’assaut d’un rêve…'


Pseudo : MVA - Avis de la page Le libertarisme : La République s’essouffle, c'est un monde de culture occidental, la République a créé le libéralisme , voir aussi la Liberté (mais , faut pas l'oublier Napoléon a impose l' Empire à la révolution) ...Liberté, Libertaire, Libéral, (voir Libversque...cad écrit mais à ressentir c'est autre chose , pour faire très bref ) sont des mots finalement de 'soumission' /// L'Anarchie n'a qu'une règle = pas de règle, et encore c'est pas une règle ... quand je m'écoute je sent la Liberté jaillir comme le printemps à écouter parfois, mais bien souvent je ne vois aucun enrichissement ... on peut aussi discuter de fanatisme et passion ...(bha ! pour juste un truc 'il souffrit sa passion' ...le reste à chacun d'y mettre son ressenti) mais je termine juste par une chose, importante = aider l'autre ? mais cela n'existe qu'en occident ...et n'en déplaise aux autres, comme à moi-même en plus ! c'est christique ...partout dans ces mondes , sans évolution, l''autre', qui n'est pas dans son système irraisonné ; est un ennemi ...souvent , dans ma vie j'ai voulu donner l'Ostie (oui sans un H) afin que le fleuve de l'esprit s'ouvre au plus large sur l'Océan ...mais les 'cultes' (sans culture) m'abaissaient au néant ...


Pseudo : CB - Avis de la page L : 'L'intelligence des plantes' me rappelle un livre que j'ai beaucoup aimé 'Rhétorique fabuleuse' d'André Dhôtel.


Pseudo : Eléa Coblan - Avis de la page L : Merci CB, un livre que je lirai...


Pseudo : Guépard - Avis de la page Après les signes, les récits du Déluge : Bel article.


Pseudo : Richard C - Avis de la page Cycle François Mitterrand - 1 - Premier amour : N'oublie pas la Cagoule, la Francisque, le pseudo attentat de l'Observatoire, la répression ou plutôt le 'maintien de l'ordre' initié en Algérie quand le personnage était ministre de l'Intérieur... etc. En effet, tu ne vas pas manquer de matière. Quel dommage que l'Internet n'existait pas à son époque et que la presse ait toujours été aussi pleutre... à part Jean-Edern Allier, qui chuta de vélo, malencontreusement, un petit matin à Deauville, alors qu'il était quasiment aveugle (ce dont je puis témoigner puisque je le croisais régulièrement dans mon quartier à l'époque)... Ne parlons ni de Patrice Pellat ou de François de Grossouvre dont la mort interroge toujours. Quant à Bérégovoy...???? Bon courage chère Maryse !


Pseudo : Paul Sanda - Avis de la page Petit, particulièrement petit, infiniment petit ! : Merci.


Pseudo : MVA - Avis de la page Politique fiction : ou pure friction...on est en politique !!!


Pseudo : MVA - Avis de la page Politique fiction : ou pure friction...on est en politique !!!


Pseudo : Paul Sanda - Avis de la page Eric Z mon amour. : Nous vivons une époque moderne... Ahaha. Merci Elea Coblan


Pseudo : Eléa Coblan - Avis de la page Eric Z mon amour. : A Paul Sanda : Oui, une époque moderne. Selon Philippe Meyer, il y a déjà si longtemps AHahAh !


Pseudo : Henri-Étoile - Avis de la page Après les signes, les récits du Déluge : Pour dire que j'apprécie beaucoup ce texte à propos de la Légende du 'Deluge' et ce qui est mis en évidence dans l'intention sous-jacente de la fabrication de ce genre de mythe, qui rejoint exactement l'intention globale de l'invention bricolée de toute pièces des Déesses et des Dieux pour en arriver à un Dieu Unique avec une efficacité augmentée pour la 'gestion des masses par les peurs... Le tout à partir d'un ramassis de légendes urbaines construites depuis les premières communautés humaines pour de simples histoires d'organisation de dominations par la violence et le pouvoir... Terrible! Et merci pour le déroulé exhaustif de cette culture planétaire de la peur. On retrouve le même phénomène planétaire avec l'émergence simultanée des civilisations des pyramides et autres tumulus... (Asie, Amérique, Europe, etc.) Fascinant!


Pseudo : Henri-Étoile - Avis de la page L : Yesss! Super intéressant, Je suis allé en Grèce et cet article m'éclaire sur ce que j'ai vu alors, début des années 80, sans avoir étudié la chose de la sorte passionnant. On retrouve sur des sites de notre région et qui sont encore étudiés aujourd'hui ce phénomène de déplacements de la population des hauteurs vers les vallées. C'est le cas bien connu dans la région avec le site de Berniquaut (une référence) qui est à l'origine des villes de Durfort et de Sorèze par ce même phénomène de déplacemens des populations, les sites sacrées (culte, nécropoles, etc, restant sur la hauteur. Idem pour le Castrum de Contrast, celui de Roquefort et bien d'autres exemples encore. Bon, nous sommes bien d'accord, le faste en moins... À lire le paragraphe sur le l'Acropole en tant que lieu d'adoration de la Déesse, on ne peut que penser aux ouvrages de Pierre Louÿs(talentueux et humble faussaire), écrits-récits autant historiques que romanesque, notamment son 'Aphrodite' (bouleversant!) Sympathique excursion qui réactive la mémoire des rues d'Athènes depuis lesquelles on observe cette hauteur mythique..


Pseudo : Henri-Étoile - Avis de la page Notre univers est étrange. : Wouaouh! Sacré article qui procure certains vertiges, aux sens propres comme figurés... Et où l'on retrouve la Magie Féérique et scientifique de Lewis Carroll avec son 'Heure du Thé' ! Rhôôôôôôôô! Mais un des ateurs d'ouvrages cité en référence, sur un plan plus Terreà Terre bien que surréaliste à propos de la vie humaine et terrestre m'a rappellé un personnage célèbre pour sa vision du Monde très en phase avec ses Mystères (de lui-même et du Monde), c'est une référence à propos de cet auteur et de sa relation à l'orthodoxie (cé très capillotracté, Hein!)religieuse s'entend..., et à propos de l'Amour et de certains rituels sociaux on peut toujours adapter et s'adapter..., pour preuve: https://www.dailymotion.com/video/x7v41y2


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page L : C'est un sacré raccourci que de faire entrer l'amour dans le champ social, C'est enfermer la vie que de la cantonner à une fonction sociale. La Fonction sociale existe pour la survie, on pourrait s'en passer et en mourir sans aucune autre conséquence que la mort, De fait oui, l'individu cherche constamment à fuir ce qui va l'enfermer. L'être humain se conforme aux contraintes sociales pour survivre et non pour vivre puisque le social consiste à l'enfermer. Il accepte de survivre sur la base de la croyance et de l'espoir, moyennant quelques sesterces et un accès au réseau internet(quand même)


Pseudo : - Avis de la page : Bonjour, Je me permets de vous contacter car notre outil d'analyse de site pourrait vous int resser. N'h sitez pas visiter notre site https://seowin.app et le tester gratuitement. Je reste votre disposition si vous avez la moindre question. Bien vous, Hugo


Pseudo : Guépard - Avis de la page François 1er visite Cordes : Bravo !!!


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page Le monde selon Jim, Bruno Geneste : Superbe action que de publier un ouvrage sur la poésie de manière générale et sur un poète Rock en particulier, même si Dylan a été honoré d'un prix nobel, et donc reconnu en tant que poète comme l'était et l'est devant l'Éternel (non genré je précise-sic). Le poète Léo Ferré chante dans un texte de Jean-Roger Caussimon ' Qu'advient-il de ceux qui vont à sa rencontre?' à propos de la mort comme l'a fait Jim à Paris dans un pays dont il aimait tant la littérature... Un mort devant laquelle il est allé dans ses vingt sept ans et que le même poète voit comme 'fille de vingt ans à chevelure rousse En voile de mariée' à l'image de la compagne de Jim dans ses dernières heures qui elle aussi choisira d'aller à 'sa rencontre'. Un lien intéressant avec un autre auteur-compositeur bien vivant lui qui évoque la relation entre mondes physiques et mondes invisibles, avec comme exemple des plus riches l'oeuvre de Mozart https://www.francemusique.fr/emissions/la-quatre-saisons-n-est-pas-qu-une-pizza/arthur-h-la-musique-est-un-passage-entre-le-monde-physique-et-le-monde-spirituel En tous cas, merci encore pour cet article et ce livre, car de leur vivant bien peu d'ouvrages étaient consacrés aux écritures de ces textes musicaux rock et encore moins aux poètes rock...


Pseudo : Henri-Étoile - Avis de la page Le dictionnaire du Diable : Ralph Steafdmon, déjà tout un Monde!! Quant à la Sorcellerie et à la Magie, que de taboux et de mystères, une exposition récente et à venir a mis et mettra le sujet en exergue... 'Magies et Sorcelleries' entre Toulouse et Lyon. Ne parle-t'on pas de 'fantômes tapageurs'...?


Pseudo : Henri Etoile - Avis de la page L : Il y a Vie à Venise, et comme ici, Foin d'espoir, il est une insulte faite au Temps Présent,


Pseudo : Cloclo - Avis de la page Jésus, le plus fragile des dieux ! : J'aime ce texte qui fait réfléchir sur l'homme Jésus et sa destinée. Merci Eléa


Pseudo : Paul Sanda - Avis de la page L’Âme des Œufs. : Très intéressant. Merci


Pseudo : Henri-Étoile - Avis de la page L’Âme des Œufs. : En lisant le passage au Colomb dit le Xtophe, c'est à Bataille que j'ai songé et à 'l'Assiete au lait' dans une certaine 'Histoire de Bataille où il est également abordé l'épinoeud(sic) sujet de la nourriture, il s'ensuit ceci dans un dialogue des plus juvéniles...: 'Il y avait dans le couloir une assiette de lait destinée au chat. – Les assiettes, c'est fait pour s'asseoir, dit Simone. Paries-tu ? Je m'assois dans l'assiette.' Non...? Quand la langue se fait des noeuds dans nos têtes...


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page Il vaut mieux prévoir un parapluie : Le Dolmen de Vaour....?


Pseudo : Elea Coblan - Avis de la page Il vaut mieux prévoir un parapluie : Le Dolmen de Vaour....? : Henri Etoile, oui, le Dolmen de Vaour.


Pseudo : Paul Sanda - Avis de la page Paul Sanda, les constellations de Charles-Albert Cingria : Merci


Pseudo : Christian Eychloma - Avis de la page Christian Eychloma. Entre fable et science. : Pour une femme, peut-être ? N'a-t-on pas dit que « si le nez de Cléopâtre eût été plus court, toute la face du monde en eût été changée » ? Maryse bonjour et merci infiniment ! Non, bien sûr, le monde n'est certes pas à la veille de changer sur le fond, car c'est bien malheureusement pour l'essentiel nos sentiments les plus mesquins qui en tissent la trame... Je te souhaite une excellente fin de journée avec le beau temps (heu... c'est de l'humour ! )


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page Qui a volé le fil d : L'aparté dans ce texte consacré à l'écrit et à la parole, aparté relatif à « nemo censetur ignorare legem »... autant récemment fait appel au médiatiser de la République (sic) pour résoudre un litige fiscal dont le Trésor Public est lui-même à l'origine, voilà la réponse du Rétorsion Public lui-même...: '(...) (en précisant votre positon et détaillant ce que vous contestez, avec les références des articles du Code général des Impôts que vous invoquez, les Bulletins officiels des Finances Publiques, la jurisprudence et autres). - par courrier : SPFE (...). - par mail : à l'adresse mail suivante : (...) (...)' Autrement dit, c'est donc à moi qu'il revient de fournir au conciliateur fiscal lui même agent du Trésor Public les éléments du Code Des impôts dont ils sont eux-mêmes les auteurs.... C'est beau comme l'Antique Tè! Matous il est compréhensible qu'ils s'y perdent eux-mêmes en se découvrant les victimes de ce qu'ils engendrent chaque instant de leur vie désormais totalement dénuée de sens, 'Vanitas vanitatum et omnia' vanitas,https://linksharing.samsungcloud.com/sjEBY60gepwq Amen! (Et à pieds)


Pseudo : Christian Eychloma - Avis de la page Êtres sur le qui-vive. : Ce recueil est une véritable mine d'or, régulièrement enrichi de curiosités et de courts articles sur des sujets divers et variés, plantant chez le lecteur autant de germes de réflexion ! J'ai bien aimé par exemple la petite dissertation philosophique sur l'image de Dieu... Comme le répétait Henri Laborit, comprendre d'abord comment fonctionne notre cerveau !


Pseudo : Claudette - Avis de la page Êtres sur le qui-vive. : Merci pour ce journal Maryse, moi j'ai aimé ton portrait de Jésus ente autres... tout est si vivant si ouvert. Quel boulot ! Je te souhaite de jolies fêtes de la Nativité et le plein d'amour qui va avec.


Pseudo : Christian Eychloma - Avis de la page D : En conclusion, je pense que nous voilà aujourd'hui contraints à davantage d'humilité en admettant les limites de notre 'processeur' aux cent milliards de neurones et aux 10.000 milliards de connexions nerveuses par cm cube... Dans son ouvrage 'Réapprivoiser la mort', Patrice Van Eersel nous explique qu'après 'l'âge magique' et 'l'âge scientifique', voici venu 'l'âge de l'incomplétude', où l'on s'aperçoit que nos théories scientifiques d'avant-garde sont incomplètes, non pas en raison d'une ignorance momentanée ou d'un savoir encore parcellaire, mais par essence même : - incomplétude de la physique (incertitude inhérente à la mécanique quantique) - incomplétude des sciences de l'évolution (insuffisance du 'hasard et de la nécessité') - incomplétude du modèle de 'l'homme neuronal' (inaptitude à embrasser la globalité de la vie psychique) - incomplétude de l'approche psychologique (structuration du sujet autour d'un manque) - incomplétude de la logique même (théorème d'incomplétude de Gödel!) - incomplétude du langage (qui ne peut pas refléter adéquatement la totalité du réel) Soyons par conséquent modestes dans nos prétentions à tout expliquer !


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page Noël 2021. : Il fallait y penser...,faire une liste de commandements liberatoires personnels libératoire de justement ces entraves sociales et morales, Maryse le fait, pour Noël, Marysec avec son parapluie, c'est comme une enfant dans les chaussures trop grandes de sa maman... Merci pour l'image de Noël! (De l'enfance, pas de la crèche!!!)


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page Précieuse mais pas ridicule sans être parfaite... : Ou encore comment vivre sans peur et en confiance, confiance en Soi et Connaissance de Soi, Vivre et découvrir librement, la Liberté,


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page Notre jardin. : Mais quelle idée Maryse de faire intervenir le seul mot et la seule idée de-du 'Travail' dans un si joli texte aux évocations tellement sensibles et touchantes... Cette Lydie Parisse parle à merveille de ce qui est accessible à qui veut bien... à qui veut bien de son propre Jardin à soi-même... à cultiver, à amender, à amonder, à émonder mais certainement pas à 'travailler'... Rhôôôô! Quand même!!!! Quel gâchis!!! ;)


Pseudo : gilles B - Avis de la page J'aime mes messages. : Bonjour Maryse; superbe synthèse d'une situation quotidienne vécue par le peuple, jugulant ainsi tout esprit de révolte. Cette thèse, celle de la copie, j'ai eu l'opportunité de l'évoquer lors d'un oral de concours, puis à la demande d'une personne qui, sortant d'une ' formation ' sur les contrefaçons, voulut en présenter une identique dans une autre ville, et, ainsi, fit appel à moi. L'entretien fut fort riche, même si les visuels/ ciblages ne furent pas forcément identiques de prime abord. Pour finir, nous avons convenu, d'un accord commun, que chaque marché a une origine, et que, comme tu le maitrises si bien, celui du ' semblant égalitaire' reste et restera toujours celui de l'apaisement des peuples. Très belle journée Maryse.


Pseudo : Henri-Étoile - Avis de la page moi, je. : Intéressant et riche, mais j'y reviendrai car voilà qui sollicite certaines fonctions cérébrales quand même. L'image d'illustration m'a fait immédiatement penser à une ville d'Auvergne de type Volvic, Clermont-Ferrand, etc. Je comprends pourquoi e lisant ton explication. Pour ton commentaire additionnel/image j'aurais plutôt dit 'Dessous' à propos de cerveau/stéréotypes


Pseudo : Henri-Étoile - Avis de la page J’aime mes messages. : J'adore ton humour et tes humours et même tes sélections de citations placées à bon escient… C'est un plaisir délectable dont je ne calculerai pas le prix au prorata de : l'abonnement internet, consommation d'électricité, empreinte carbone, la part de l'amortissement du siège sur lequel je suis assis, prorata des intérêts du prêt immobilier arrivé à son terme, etc., etc. rapporté au temps passé dans ce bien immobilier à écrire ce commentaire, etc. Vive la simplicité!


Pseudo : Paul Sanda - Avis de la page Moi, Présidente. : Bravo. Faire quelque chose qui passe par le cœur et qui élève l'âme. C'est très beau. Ne jamais perdre la vraie notion de ce qui est essentiel. Et transmettre avec justesse ce qui est nécessaire pour devenir davantage soi-même. Bon courage pour la suite.


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page 3 desserts Maman. : Et merci pour cette nouvelle recette du gâteau au yaourt...


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page Paul Sanda, Bruno Geneste - 800 ans Cordes-sur-Ciel. : Hello! https://photos.app.goo.gl/cpPqUK3twT9k5AuVA Le Moulin de Maryse...? Bien à toi, Henri


Pseudo : Elea Coblan - Avis de la page Paul Sanda, Bruno Geneste - 800 ans Cordes-sur-Ciel. : @ Henri Étoile : Non ce moulin n'est pas le mien, le mien est beaucoup plus joli et les fées plus nombreuses ! Bonne soirée.


Pseudo : Paul Sanda - Avis de la page Paul Sanda, Bruno Geneste - 800 ans Cordes-sur-Ciel. : Merci merci.


Pseudo : Henri-Étoile - Avis de la page Militer sous la troisième république. : La lecture de ces faits et de la place de tout ce qui est éducatif dans la région entre autres choses me fait soudain penser à un auteur local, poète-écrivain de nostre païs de cette si riche Vallée Aurifère (Le 'Vi-Aur'). Le dit Poète Joan Bodon-Jean Boudou qui a arpenté le pays d'ici était enseignant, de la génération juste après celle de ton aïeul justement. Et ce Joan Bodon, poète (dit) occitan a beaucoup évoqué la vie paysanne, la vie locale du pays, au travers de la vie rurale. Une vie locale rythmée par les saisons et notamment les moissons. Dans ses récits, Joan Bodon mentionne fréquemment le rôle central et fondamental des Moulins de la Vallée, dont un de tes aïeux (le même que celui de ces faits 'éducatifs' si j'ai tout bien compris)était un acteur notoire en tant que meunier puisqu'un ouvrage parle de 'dynastie de meuniers' à son sujet et au sujet du Moulin de Maryse (!!!), donc! On sort différent des lectures des livres de Jean Boudou..., homme du Monde puisqu'il aura aussi beaucoup vécu en Algérie en tant qu'enseignant, et aura aussi connu le STO en Pologne.


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page La bombe. : Le Bouton Rouge, J'ai honte!!! Je peux...?


Pseudo : Elea Coblan - Avis de la page La bombe. : @ Henri, oui tu peux car tu es daltonien, ouf (sourire)


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page CoCoLiCo : Rhôôôôô ! Une Forêt de Boutons Rouges... Et un poème d'invitation à, C'est bucolique, Mé quel Printemps!!!


Pseudo : Elea Coblan - Avis de la page CoCoLiCo : @ Henri : Tu vois que je n'ai absolument pas l'âme castratrice. Tu voulais des boutons ? En voici, en voilà ! D'une jolie couleur rouge en plus...


Pseudo : Henri Étoile - Avis de la page Écrire : Les boîtes à lettres sont toujours pleines de courriers indésirables, https://photos.app.goo.gl/6ppB49Y6dVk6EVit5


Pseudo : Henri-Étoile - Avis de la page Ose. : *Toutes les formes de 'pouvoirs' se révèlent toxiques, tôt ou tard, comme tout ce qui est 'jugement' de valeur et/ou de critique... Les 'peurs' seules permettent au pouvoir et au jugement de s'instiller/s'immiscer dans toutes les relations, relations à soi, au Monde, à l'Autre... C'est ainsi que les déesses pour commencer, puis les Dieux, puis le Dieu Unique puis les Religions ont été inventées et sont plus que jamais actives... *Points de vues personnels


Pseudo : gillesb - Avis de la page Intégration et religions : merci de ton regard partagé sur l'intégration et les religions. Dans notre pays, l'assimilation a pris très vite le pas sur l'intégration, la justice depuis 1981, par le truchement de jurisprudences, a fait ce qu'il fallait, le législateur fébrile s'étant contenté de valider le(s) texte(s) de loi(s) proposé(s) sans en faire trop et attendre que cela soit établi par les juges. Au vu des jugements rendus, l'intégrité de la justice qui se veut indépendante, mais qui a son ministère ( ce qui est normal) et ainsi ses fonctionnaires donc les salaires versés par l'état ( qui gère aussi les carrières), je doute de la liberté des juges en matière d'application des lois. Sans doute, ai-je trop fréquenté les chambres d'assises ou de correctionnelles et assisté par ce fait à la création de pédigrées pour certains alors que pour d'autres, pour les mêmes motifs, le couperet était de mise. J'ai beaucoup aimé ton passage sur les propos du Rabbin qui, ma foi mettent de l'eau à mon moulin. À mon avis rien ne se fera dans cette société dans laquelle la vie en accord et sérénité est impossible, il faudrait détruire ce communautarisme implanté depuis fort longtemps, et mettre tout le monde sur un même pied d'égalité qui commencerait par le volet fiscal et non ce gouffre abyssin qui sépare et qui crée tant de malaises chez les accueillants, dits les 'habitants historiques'. Très belle journée Maryse. Bises????????


Pseudo : Richardcaf - Avis de la page Discussion avec mon chien. : Bonjour, SERVEUR FTP MP3 PRIVÉ 0-DAY Accéder https://0daymusic.org * Mode de paiement revendeur : AltCoins, Webmoney, Perfect Money. * Choisissez le mode de paiement : BitCoin, virement bancaire, Western Union. * Capacité du serveur : 347TB, MP3, FLAC, LIVESETS, Clips vidéo. * Prise en charge : FTP, FTPS (File Transfer Protocol Secure), SFTP et HTTP, HTTPS. * Délai de livraison du compte : 1 à 48 heures. * Plus de 15 ans d'archives. * Vitesse globale du serveur : 1 Gb/s. * Facile à utiliser : la plupart des genres sont triés par jours.


Pseudo : Robbfu - Avis de la page Politique fiction : In today's fast-paced world, staying informed about the latest updates both domestically and globally is more crucial than ever. With a plethora of news outlets competing for attention, it's important to find a dependable source that provides not just news, but insights, and stories that matter to you. This is where USAtoday.com , a top online news agency in the USA, stands out. Our commitment to delivering the most current news about the USA and the world makes us a primary resource for readers who seek to stay ahead of the curve. Subscribe for Exclusive Content: By subscribing to USAtoday.com, you gain access to exclusive content, newsletters, and updates that keep you ahead of the news cycle. USAtoday.com is not just a news website; it's a dynamic platform that empowers its readers through timely, accurate, and comprehensive reporting. As we navigate through an ever-changing landscape, our mission remains unwavering: to keep you informed, engaged, and connected. Subscribe to us today and become part of a community that values quality journalism and informed citizenship.




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